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L’origine d’un style

La ville d’Angoulême voit naître, le 29 mai 1974, l’artiste peintre français Éric Mazzarese, alias Le Zèbre.

Issu d’une famille italienne, il pose ses valises en 1995 dans la région bordelaise pour y suivre des études en chaudronnerie. Une époque légère, insouciante, propice à l’éveil créatif.

Un imaginaire fécond dès l’enfance

Très tôt, Éric s’évade dans les musées et les livres, absorbé par les mondes anciens qu’il découvre. L’imaginaire s’installe, riche, habité. Une identité artistique émerge, libre, instinctive, refusant le moule et les conventions. L’art devient alors bien plus qu’une passion : une urgence, un langage, un souffle vital.

Un parcours singulier, une peinture en évolution

Fils de tourneur sur métaux, Éric grandit dans un univers de simplicité, de rigueur et de modestie. À l’école déjà, il se distingue dans les disciplines qui le touchent, délaissant les autres.

C’est plus tard, avec la maturité, qu’il décide : il sera peintre.

Son aventure picturale commence avec la peinture acrylique, qui lui permet de libérer rapidement son geste et ses émotions. Mais très vite, le besoin de profondeur, de temps, de matière le pousse vers la peinture à l’huile, médium qu’il privilégie aujourd’hui pour explorer avec plus de subtilité la lumière, les contrastes et l’âme des sujets qu’il aborde.

Une œuvre, une mémoire, une rencontre

Son travail témoigne d’une réalité intime et poétique, d’une nature perdue qu’il réveille toile après toile. Le spectateur, guidé par l’émotion, y projette sa propre histoire.

Le Zèbre, c’est une signature, une identité.

Un clin d’œil à l’animal qu’il peint souvent, comme une empreinte.

Car Le Zèbre, c’est avant tout une rencontre.